1. Procédé de soudage : « épissure de précision » decaillebotis en acier
Logique de base : le soudage est la « construction squelettique » du caillebotis en acier, qui soude l'acier plat et les barres transversales dans une structure stable.
Comparaison des processus :
Soudage sous pression :similaire à la soudure instantanée à haute température du « teppanyaki », les nœuds sont fermes mais doivent éviter la surchauffe etfragilisation.
Appuyez sur le processus de verrouillage :comme des « blocs Lego », ils mordent et renforcent, avec à la fois une résistance au cisaillement et une résistance à la fatigue.
Soudage automatisé :Les robots sont comme des « brodeurs mécaniques » et la précision au millimètre près améliore l'efficacité et la stabilité.
Piège de qualité :Les points de soudure irréguliers peuvent facilement devenir des « résidus de tofu » et nous devons être vigilants face aux « fausses soudures » et aux « fissures thermiques ».
2. Capacité de charge : « équilibre mécanique » du caillebotis en acier
Logique de base : la conception porteuse doit trouver le « point d'équilibre idéal » entre la résistance du matériau, la densité de la grille et la portée.
Éléments clés :
Sélection des matériaux : l'acier ordinaire est comme un « coach de fitness » qui est solide mais craint la corrosion, et l'acier inoxydable est comme des « forces spéciales » qui sont durables mais chères.
Densité du réseau : Imaginez « pêcher au filet ». Plus le réseau est dense, plus la capacité portante est stable, mais plus le coût est élevé.
Optimisation de la portée : les longues portées doivent être « exploitées » (ajouter des traverses) pour éviter « l'effet de bascule ».
Avertissement : La grille en acier d'une usine chimique s'est effondrée parce que la grille était clairsemée comme une « passoire » et le point de soudure a cédé comme un « os cassé ».
3. Résistance à la corrosion : « défense environnementale » des caillebotis en acier
Logique de base : La résistance à la corrosion est « l'armure de survie » des caillebotis en acier, qui doivent lutter contre les « assassins environnementaux » tels que l'acide, l'alcali, l'humidité et les embruns salins.
Stratégie de défense :
Amélioration des matériaux : l'acier inoxydable est comme une « cloche dorée », la galvanisation à chaud est comme une « peinture antirouille » et le revêtement est comme un « écran solaire ».
Adaptation environnementale : les zones côtières doivent être « entièrement armées » (acier inoxydable + revêtement), et les environnements à haute température nécessitent une « armure résistante à la chaleur » (alliages spéciaux).
Ennemi invisible : le brouillard salin est comme une « pluie acide invisible » et l'épaisseur du revêtement doit être « vérifiée » régulièrement.
Date de publication : 08/04/2025